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Accueil » Lettres & Langues » Littérature » Littérature nº 171 (3/2013) » Une solide formation sceptique

Littérature nº 171 (3/2013)

Diderot et le roman
Parution 
octobre 2013
EAN 
9782200928568
Prix au numéro 
18 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
128 pages
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Auteur(s) 
Bernard Bourrit
Une solide formation sceptique
Résumé 

Thomas Bernhard, nihiliste ? Voilà un séditieux prétexte pour nier, justement, la radicale rigueur de Thomas Bernhard. Pour refuser de considérer positivement l’esprit systématique avec lequel il relie le problème de l’écriture à celui de son origine. Écrire, c’est recommencer d’écrire, faire en sorte que l’écriture continue en dépit du fait – originel – que l’écrit trahit tout ce dont il s’empare : la pensée, la vérité, la réalité. Cette aporie, comment la dépasser ?

Abstract 

Thomas Bernhard, a nihilist ? This constitutes a polemical pretext in order to deny – to no-one’s surprise – Thomas Bernhard’s radical rigour. This is order to refuse to consider in a positive light the systematicity with which he links the problem of writing to that of its origins. To write is to start writing again, to organise writing’s continuity despite the fact – a fact of its nature – that writing betrays everything it lays claim to : thought, truth, reality. How can the aporetic nature of this fact be transcended ?

Citation 
Bernard Bourrit, « Une solide formation sceptique », Littérature nº 171 (3/2013), pp. 102-116, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langue/litterature/litterature-no-171-32013/solide-formation-sceptique
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