Afghans et Occidentaux ont une image négative de la guerre en Afghanistan. Les communicants de l’OTAN tirent donc un bilan mitigé de leur action. Ils ont surtout souffert de l’absence d’une stratégie claire. D’autres problèmes s’y sont ajoutés, comme la difficulté d’opérer dans un contexte multinational, la complexité des procédures « otaniennes », la mauvaise compréhension de la culture afghane, la fréquence des rotations des personnels ou encore la faiblesse des mécanismes de retour d’expérience.