À entrecroiser les vies et surtout les oeuvres de Clément Marot et Pierre de Ronsard apparaissent leurs points communs et leurs différences, tout en montrant la façon dont leurs descendances poétiques respectives a eu tendance à effacer chez l’un ce qu’elle voulait voir chez l’autre, et vice versa… Un conte de deux poètes qui a lui-même aussi été répété, et dont les entrecroisements peuvent eux-mêmes être mis en vers.