Politique étrangère n° 1/2013
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Au-delà d’une ancienne proximité historique, Moscou et Téhéran ont dû redéfinir leur relation après la disparition de l’URSS. Cette relation intègre, entre autres, des approches différentes des évolutions politiques au Moyen-Orient ; une coopération ambiguë en matière nucléaire et d’armements conventionnels et une convergence de vues sur la crise syrienne. Les deux capitales devront néanmoins prendre garde que cette dernière position ne leur aliène pas les grands acteurs de la région.
Though they have historically been close, Moscow and Tehran have had to redefine their relationship following the demise of the USSR. This relationship entails, among other things, different approaches to political developments in the Middle East, ambiguous cooperation on nuclear and conventional weapons and a shared perspective on the Syrian crisis. Both capitals should nevertheless take care to make sure that their positions on the latter do not alienate major players in the region.