Littérature n°176 (4/2014)
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La rencontre Novarina/Artaud eut lieu plus d’une fois. On ne racontera pas ici une histoire de famille, d’influence ou de filiation, mais une commune inquiétude – une interrogation partagée de l’inhumanité de la langue. Du coup de dés mallarméen aux anthropoglyphes-hiéroglyphes levés sur la page, se décèle une commune traversée de l’inhumain : Artovarina, corps-théâtre toujours en voie de surrection.
There are multiple points of contact between Novarina and Artaud. We will not tell a tale of family, influence, or derivation, but one of common concern – a shared questioning of the inhumanity of language. FromMallarmé’s coup de dés to the anthropoglyphs-hieroglyphs that arise on the page, a common crossing of the inhuman is revealed : Artovarina, a body-theatre always in the process of upheaval or “surrection”.