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Accueil » Lettres & Langues » Romantisme » Romantisme n° 147 (1/2010) » Y a-t-il eu une " identité collective " du romantisme de 1830 ?

Romantisme n° 147 (1/2010)

Génération Musset
Parution 
avril 2010
EAN 
9782200926168
Prix au numéro 
18 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
168 pages
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Auteur(s) 
Anthony Glinoer
Y a-t-il eu une " identité collective " du romantisme de 1830 ?
Résumé 

Au-delà des listes de noms et d’oeuvres, sur quoi repose un mouvement littéraire solidaire et agissant ? Pour répondre à cette question, l’article s’interroge sur la notion d’identité collective et sur sa possible application au romantisme de 1830. Il fait apparaître qu’à la notion de génération, auquel on s’est souvent fié, il faut ajouter d’autres opérateurs : des caractéristiques sociales partagées, l’adoption de lieux de sociabilité fédérateurs, en l’occurrence de cénacles, et enfin la construction de discours collectifs, tout particulièrement dans les revues et les journaux, grâce auxquels est transmise une image unitaire du groupe.

Abstract 

Apart from a list of names and works, on what does a collaborative and active literary movement rest ? In order to answer this question, the article reconsiders the notion of collective identity and its possible application to the Romantic Movement of 1830. Such an interrogation reveals the existence of other operating factors, apart from the widely upheld notion of the literary generation, including : shared social characteristics, the adoption of spaces of sociability (the cenacles), and finally the construction of collective discourses, most particularly in reviews and journals, which helped to transmit a unified and unifying image of the literary group.

Citation 
Anthony Glinoer, « Y a-t-il eu une " identité collective " du romantisme de 1830 ? », Romantisme n° 147 (1/2010), pp. 29-40, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langue/romantisme/romantisme-ndeg-147-12010-generation-musset/y-t-il-eu-identite-collective-du-romantisme-1830
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