Aller au contenu principal
Connexion
Mot de passe oublié
Vous n'avez pas encore de compte ?
Créer votre compte
  • Enseignants
  • Livres
Armand Colin | Revues

Formulaire de recherche

  • Histoire
    • Annales historiques de la Révolution française
    • Histoire, économie & société
    • Revue de l'histoire des religions
    • Revue d'histoire des sciences
  • Géographie
    • Annales de Géographie
    • L'information géographique
  • Éco & Sc. Politique
    • Politique étrangère
    • Revue d'économie régionale et urbaine
  • Lettres & Langues
    • Langue française
    • Langages
    • Le Français Aujourd'hui
    • Littérature
    • Romantisme
  • Éduc. & santé
    • Carrefours de l'éducation
    • La Revue de l'hypnose et de la santé

Vous êtes ici

Accueil » Lettres & Langues » Littérature » Littérature n° 180 (4/2015) » Roman et antiroman : Chevillard, Senges, Volodine

Littérature n° 180 (4/2015)

Écrire en contrepoint
Parution 
décembre 2015
EAN 
9782200930110
Prix au numéro 
18 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
138 pages
Voir le sommaire

Pour acheter ce numéro, contactez-nous

S'abonner

Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.

Articlesprecedent suivant
Auteur(s) 
Audrey Camus
Roman et antiroman : Chevillard, Senges, Volodine
Résumé 

Si le genre romanesque n’a pas bonne presse chez les écrivains français aujourd’hui, pour Éric Chevillard, Pierre Senges et Antoine Volodine, écrire contre le roman, c’est écrire tout contre. Parce qu’ils sont romanciers malgré eux dès lors que, pour reprendre une affirmation provocatrice du premier, « bientôt, le terme roman sera définitivement devenu synonyme de livre », mais surtout parce que les formes qu’ils inventent constituent des variations sur le genre romanesque qu’ils malmènent pour mieux le renouveler. Explorant les rapports qu’entretiennent roman et antiroman à la lumière de cette pratique contrapuntique, l’article montre que ce couple notionnel ne coïncide qu’incidemment avec celui qui oppose le romance au novel, et que c’est l’illusion mimétique qui constitue le véritable enjeu pour l’antiroman, par-delà ses manifestations singulières au cours du temps. Ce déplacement permet de reconsidérer la cible de l’antiroman comme un modèle abstrait dont l’antiroman trace les contours en creux, expurgeant ainsi les formes sclérosées qui tendent à figer le genre romanesque, comme autant de mues, afin de maintenir le vague du roman, qui le garde toujours vivant.

Novel and antinovel : Chevillard, Senges, Volodine
Abstract 

Even though the novelistic genre does not get a good press from the French writers today, for Éric Chevillard, Pierre Senges and Antoine Volodine, to write against the novel is in fact to write quite close to it. Because they are novelists in spite of themselves since, to quote a provocative statement of the first, “soon, the term novel will permanently have become a synonym for book”, but especially because the forms they invent constitute variations on the novelistic genre they mistreat the better to renew it. The article explores the relations between the novel and the antinovel in the light of this contrapuntal practice, and shows that this notional couple only coincides incidentally with the one which contrasts the romance with the novel, and that the mimetic illusion is what constitutes the real stake for the antinovel, beyond its singular expressions throughout history. This shift allows for a reconsideration of the antinovel’s target as an abstract model, the contours of which are indirectly drawn by the antinovel, and thus expurgates the fossilized forms that tend to freeze the novelistic genre, like so many molts, in order to maintain the vagueness of the novel, which always keeps it alive.

Citation 
Audrey Camus, « Roman et antiroman : Chevillard, Senges, Volodine », Littérature n° 180 (4/2015), pp. 92-104, Armand Colin. Disponible sur : https://www.revues.armand-colin.com/lettres-langues/litterature/litterature-ndeg-180-42015/roman-antiroman-chevillard-senges-volodine
Consulter l'article
Citer l'article
DANS LA MÊME thématique
Les adjectifs tough du français comme prédicats dispositionnels
Auteur(s)
Danièle Van de Velde
Langages Nº 218 (2/2020)
Les constructions Tough : syntaxe, sémantique et interfaces
Parution:
juin 2020
Traces « photocartographiques » dans Un monde sans rivage, d’Hélène Gaudy
Auteur(s)
Manon Delcour
LITTÉRATURE Nº207 (3/2022)
Traces et oublis
Parution:
septembre 2022
Logo footer Armand colin
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • Livres
  • Espace Enseignants du Supérieur
  • Dunod Éditeur

Inscrivez-vous à la newsletter

  • Mentions légales
  • Archives ouvertes
  • C.G.V
  • C.G.A
  • Données personnelles
  • Cookies
  • Plan du site

© Armand Colin, Tous droits réservés.

Back to top