Aller au contenu principal
Connexion
Mot de passe oublié
Vous n'avez pas encore de compte ?
Créer votre compte
  • Enseignants
  • Livres
Armand Colin | Revues

Formulaire de recherche

  • Histoire
    • Annales de démographie historique
    • Annales historiques de la Révolution française
    • Histoire, économie & société
    • Revue de l'histoire des religions
    • Revue d'histoire des sciences
  • Géographie
    • Annales de Géographie
    • L'information géographique
  • Éco & Sc. Politique
    • Politique étrangère
    • Revue d'économie régionale et urbaine
  • Lettres & Langues
    • Langue française
    • Langages
    • Le Français Aujourd'hui
    • Littérature
    • Romantisme
  • Éduc. & santé
    • Carrefours de l'éducation
    • La Revue de l'hypnose et de la santé

Vous êtes ici

Accueil » Histoire » Annales historiques de la Révolution française » Annales historiques de la Révolution française n° 368 (2/2012) » La Révolution face aux "victimes du pouvoir arbitraire" : L'abolition des lettres de cachet et ses conséquences

Annales historiques de la Révolution française n° 368 (2/2012)

Parution 
septembre 2012
EAN 
9782200927608
Prix au numéro 
15 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
250 pages
Voir le sommaire

Pour acheter ce numéro, contactez-nous

S'abonner

Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.

Articlesprecedent suivant
Auteur(s) 
Jeanne-Marie Jandeaux
La Révolution face aux "victimes du pouvoir arbitraire" : L'abolition des lettres de cachet et ses conséquences
Résumé 

Les lettres de cachet, érigées dès 1789 en symbole honni de l’Ancien Régime, ont connu une lente agonie, marquée par les hésitations et le doute. Alors même que cette incarnation de la monarchie absolue et de l’arbitraire royal faisait apparemment l’unanimité contre elle, les députés de l’Assemblée nationale constituante ont attendu mars 1790 avant d’enfin en prononcer l’abolition. La crainte des conséquences d’une telle mesure retient en effet les députés de l’Assemblée qui nomment en novembre 1789 un Comité des lettres de cachet chargé de préparer l’action du législateur et d’enquêter sur cette masse obscure, inquiétante et hétérogène de prisonniers du roi et correctionnaires, encore détenue dans des maisons de force en vertu de lettres de cachet. Les débats puis le texte du décret final traduisent la prudence de députés partagés entre le désir de rendre à la lumière ces « victimes de l’oppression » et la peur du désordre qui pourrait s’en suivre.

Mots clés 
lettres de cachet
arbitraire
Justice retenue
Comité des lettres de cachet
Révolu tion
prisons.
Abstract 

Lettres de cachet, from 1789 onwards a hateful symbol of the Old Regime, suffered a slow death characterized by hesitations and perplexity. Even though this incarnation of absolute monarchy and symbol of royal arbitrariness aroused virtually unanimous opposition, the deputies of the National Constituent Assembly waited until March 1790 to abolish the lettres de cachet. Indeed, the fear of the consequences of such a decision caused some hesitancy among the deputies, who created in November 1789 a special Comité des lettres de cachet. This Comité labored to prepare appropriate legislation and to investigate a varied and unknown collection of material about the prisonners of the King as well as others still detained in prisons because of the lettres de cachet. The debats and the final text of this decret reflect the cautiousness of deputies torn between the desire to expose the plight of the victims of oppression and at the same time the fear of disorder that could result from this decision.

Citation 
Jeanne-Marie Jandeaux, « La Révolution face aux "victimes du pouvoir arbitraire" : L'abolition des lettres de cachet et ses conséquences », Annales historiques de la Révolution française n° 368 (2/2012), pp. 34-60, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/histoire/annales-historiques-revolution-francaise/annales-historiques-revolution-francaise-ndeg-368-22012/revolution-face-aux-victimes-du-pouvoir
Consulter l'article
Citer l'article
Logo footer Armand colin
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • Livres
  • Espace Enseignants du Supérieur
  • Dunod Éditeur

Inscrivez-vous à la newsletter

  • Mentions légales
  • Archives ouvertes
  • C.G.V
  • C.G.A
  • Données personnelles
  • Cookies
  • Plan du site

© Armand Colin, Tous droits réservés.

Back to top