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Accueil » Lettres & Langues » Littérature » Littérature n° 174 (2/2014) » Écrire/peindre l’invisible

Littérature n° 174 (2/2014)

Édouard Glissant. La pensée du détour
Parution 
août 2014
EAN 
9782200929497
Prix au numéro 
18 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
128 pages
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Auteur(s) 
Aliocha Wald Lasowski
Écrire/peindre l’invisible
Résumé 

L’esthétique cyclonique de Glissant approche l’oeuvre comme un accès tremblant au Tout-Monde. Selon ses mots : « Comme la bête fabuleuse, la peinture ne nous distrait du réel que pour mieux en soulever les houles, dans ses patientes et minutieuses relevées du Divers. » Alors qu’est-ce que l’imprévu, l’invisible et le surgissement, dans une esthétique de l’impossible fondation marquée par l’errance, la malédiction, les vertiges du temps et de la mémoire ? « L’oeil qui voit tout est un infirme », écrit Glissant dans le dialogue qu’il imagine entre le graveur Albrecht Dürer et l’alchimiste Areko, du peuple des Batoutos. Contre la puissance de la prédictibilité, Glissant mobilise l’oeuvre d’art dans cette perspective têtue de l’oblique et du dérobement. Privilège de la dépossession.

Abstract 

Glissant’s cyclonic aesthetics approaches the work of art as a “trembling” bridge to the “Whole-World” (“Tout-Monde”). In his own words : “Like the legendary beast, painting diverts us from reality only to raise its swellshigher, in its patient and meticulous surveys of Diversity.” What can then be construed as the unexpected, the invisible and the emergence, in an aesthetics based on the impossibility to found and marked by wandering, cursedness and the dizzy whirl of time and memory ? “The eye that sees everything is disabled”, Glissant writes in the dialogue he imagines between the engraver Albrecht Dürer and the alchemist Areko, from the Batoutos people. Against the power of predictability, Glissant conjures up the work of art with this stubborn, oblique and elusive perspective. The privilege of dispossession.

Citation 
Aliocha Wald Lasowski, « Écrire/peindre l’invisible », Littérature n° 174 (2/2014), pp. 41-52, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langue/litterature/litterature-ndeg-174-22014-edouard-glissant/ecrirepeindre-linvisible
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