Aller au contenu principal
Connexion
Mot de passe oublié
Vous n'avez pas encore de compte ?
Créer votre compte
  • Enseignants
  • Livres
Armand Colin | Revues

Formulaire de recherche

  • Histoire
    • Annales historiques de la Révolution française
    • Histoire, économie & société
    • Revue de l'histoire des religions
    • Revue d'histoire des sciences
  • Géographie
    • Annales de Géographie
    • L'information géographique
  • Éco & Sc. Politique
    • Politique étrangère
    • Revue d'économie régionale et urbaine
  • Lettres & Langues
    • Langue française
    • Langages
    • Le Français Aujourd'hui
    • Littérature
    • Romantisme
  • Éduc. & santé
    • Carrefours de l'éducation
    • La Revue de l'hypnose et de la santé

Vous êtes ici

Accueil » Lettres & Langues » Romantisme » Romantisme n° 157 (3/2012) » William Morris et les couleurs du Moyen Âge

Romantisme n° 157 (3/2012)

Les couleurs au XIXe siècle
Parution 
octobre 2012
EAN 
9782200928100
Prix au numéro 
18 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
168 pages
Voir le sommaire

Numéro épuisé

S'abonner

Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.

Articlesprecedent suivant
Auteur(s) 
Charlotte Ribeyrol
William Morris et les couleurs du Moyen Âge
Résumé 

Alors que la (re)découverte de la polychromie originelle des temples grecs vient mettre à mal les fantasmes de blancheur marmoréenne des Victoriens, le monde médiéval, qui fascine tout autant à cette époque, retrouve plus sereinement ses couleurs chatoyantes, loin des sombres décors du roman gothique anglais. Cette re-colorisation se donne à lire, et surtout à voir, dans les poèmes, essais et créations de William Morris (1834-1896) qui souhaite oublier la noirceur de son temps en se formant à « l’école de la couleur » gothique, célébrée par John Ruskin. Au-delà de ces considérations esthétiques, les couleurs « réminiscentes » de Morris invitent également à une réévaluation radicale du modèle à la fois social, religieux et politique jusque-là associé au Moyen âge.

Abstract 

If the Victorians discovered the original polychromy of ancient Greek temples with a certain sense of unease, they imagined with greater serenity the colours of a medieval “Merry England” which broke away from the sombre world of the Gothic novel. The Middle Ages were a source of great fascination, and the colours of this period are everywhere to be found in the poetry, essays and creations of William Morris (1834-1896) who was eager to distance himself from his own dark age by emulating the Gothic “school of colour” celebrated by John Ruskin. Beyond these aesthetic considerations, what is also at stake in Morris’s “reminiscent” use of colour is a total reappraisal of the social, religious and political model which had up until then been associated with the Middle Ages.

Citation 
Charlotte Ribeyrol, « William Morris et les couleurs du Moyen Âge », Romantisme n° 157 (3/2012), pp. 53-64, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langue/romantisme/romantisme-ndeg-157-32012-couleurs-au-xixe-siecle/william-morris-couleurs-du-moyen-age
Consulter l'article
Citer l'article
DANS LA MÊME thématique
Éditorial. La main passe
Auteur(s)
Martin Mégevand
Littérature Nº210 (2/2023)
Victor Segalen
Parution:
juin 2023
Le parti pris des choses textuelles : poème en prose et nature morte
Auteur(s)
Bertrand Bourgeois
ROMANTISME N°198 (4/2022)
Natures mortes, objets orphelins et choses particulières
Parution:
décembre 2022
Logo footer Armand colin
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • Livres
  • Espace Enseignants du Supérieur
  • Dunod Éditeur

Inscrivez-vous à la newsletter

  • Mentions légales
  • Archives ouvertes
  • C.G.V
  • C.G.A
  • Données personnelles
  • Cookies
  • Plan du site

© Armand Colin, Tous droits réservés.

Back to top