Littérature n° 154 (2/2009)
Pour acheter ce numéro, contactez-nous
Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.
Pour Daniel Maximin, le terme de post-colonialisme peut être utilisé au sens chronologique, mais pas comme catégorie générique — ceci parce que la littérature a pour caractéristique fondamentale de libérer l’individu, aujourd’hui comme hier, quand les poètes de la Négritude firent le choix de s’assembler à cause de similitudes de situation. Quant à MaÏssa Bey, elle écrit en français dans un pays dont la réalité linguistique est complexe, et le fait parmi d’autres écrivains francophones qui se voient plutôt comme — écrivains post-indépendance…
For Daniel Maximin, postcolonialism is all right as a chronological term, not as a classifier — a position due to literature’s essential freedom, today as yesterday, when the very different negritude poets chose to be together because of a common situation. Maïssa Bey writes in French in a country whose linguistic reality is complex, among other francophone writers who see themselves as — post-independance…