Aller au contenu principal
Connexion
Mot de passe oublié
Vous n'avez pas encore de compte ?
Créer votre compte
  • Enseignants
  • Livres
Armand Colin | Revues

Formulaire de recherche

  • Histoire
    • Annales historiques de la Révolution française
    • Histoire, économie & société
    • Revue de l'histoire des religions
    • Revue d'histoire des sciences
  • Géographie
    • Annales de Géographie
    • L'information géographique
  • Éco & Sc. Politique
    • Politique étrangère
    • Revue d'économie régionale et urbaine
  • Lettres & Langues
    • Langue française
    • Langages
    • Le Français Aujourd'hui
    • Littérature
    • Romantisme
  • Éduc. & santé
    • Carrefours de l'éducation
    • La Revue de l'hypnose et de la santé

Vous êtes ici

Accueil » Lettres & Langues » Romantisme » ROMANTISME N° 182 (4/2018) » Péguy antiromantique ?

ROMANTISME N° 182 (4/2018)

Antiromantismes
Parution 
décembre 2018
EAN 
9782200932046
Prix au numéro 
20 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
168 pages
Voir le sommaire

Pour acheter ce numéro, contactez-nous

S'abonner

Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.

Articlesprecedent suivant
Auteur(s) 
Alexandre De Vitry
Péguy antiromantique ?
Résumé 

L’antiromantisme de Péguy vient d’abord de son socialisme : le classique tel qu’il le définit promeut le travail et l’action, tandis que le romantisme relèverait de la représentation et de la théâtralisation de soi.Cependant, c’est dans ces catégoriesmêmes que Péguy s’avère plus romantique qu’il ne le dit : ses engagements civiques successifs s’accompagnent d’une tendance individualiste et volontiers sécessionniste, laquelle conduit à partir de 1909 au désir assumé d’écrire ses Confessions, projet relevant directement de la « représentation de soi » qu’il condamnait. En s’inscrivant dans une filiation rousseauiste, Péguy se rapproche d’une figure honnie par les antiromantiques conservateurs de son temps, en particulier Pierre Lasserre. Toutefois, il n’a pas renoncé à son antiromantisme, et ces Confessions restent un projet ressassé d’essai en essai sans être jamais directement mis en oeuvre, sur le mode de la prétérition.

Abstract 

Péguy’s anti-romanticism takes its roots first of all in his socialism: classicism as he defines it promotes work and action, while romanticism pertains to the representation and dramatization of the Self. However, it is within these very categories that Péguy shows himself to be more romantic than he realises: his successive civic investments accompany an individualistic and often separatist sensibility, which leads him, from 1909 onwards, to vindicate a wish to write his Confessions, a project in line with the idea of “self-representation” he had condemned. In following in Rousseau’s footsteps, Péguy associates himself with a personality hated by the anti-romantic conservatives of his time, in particular Pierre Lasserre. However, he did not relinquish his anti-romanticism, and these Confessions stayed a project mulled over from essay to essay without ever being started directly – in preterition mode.

Citation 
Alexandre De Vitry, « Péguy antiromantique ? », ROMANTISME N° 182 (4/2018), pp. 80-89, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langues/romantisme/romantisme-ndeg-182-42018/peguy-antiromantique
Consulter l'article
Citer l'article
DANS LA MÊME thématique
Entretien avec Annie Ernaux
Auteur(s)
Pierre-Louis Fort
LE FRANÇAIS AUJOURD'HUI Nº224 (1/2024)
La littérature contemporaine à l’école
Parution:
mars 2024
L’opposition nom massif / nom comptable et le problème des déterminants « non sélectifs »
Auteur(s)
Georges Kleiber
Langue française Nº217 (1/2023)
Varia
Parution:
mars 2023
Logo footer Armand colin
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • Livres
  • Espace Enseignants du Supérieur
  • Dunod Éditeur

Inscrivez-vous à la newsletter

  • Mentions légales
  • Archives ouvertes
  • C.G.V
  • C.G.A
  • Données personnelles
  • Cookies
  • Plan du site

© Armand Colin, Tous droits réservés.

Back to top