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Romantisme n°187 (1/2020)

Cultures visuelles du XIXe siècle
Parution 
mars 2020
EAN 
9782200932886
Prix au numéro 
20 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
168 pages
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Auteur(s) 
Antonio Somaini
Pour une archéologie du concept de « médium » à l’âge du romantisme. Turner, Hazlitt, Ruskin, Goethe
Résumé 

Dans un texte intitulé « On Imitation » (1817), le critique anglaisWilliam Hazlitt écrit que les tableaux de Turner « ne représentent pas tant les objets de la nature que le médium à travers lequel ils sont vus ». Cette citation devient le point de départ pour analyser la présence, dans le contexte du romantisme anglais et allemand, d’une des lignes généalogiques qui traversent l’histoire du concept de « médium » : une signification selon laquelle le médium n’est ni un intermédiaire entre le monde des vivants et celui des morts, ni un ensemble de supports et de techniques définissant la spécificité d’une création artistique, ni un « prolongement de l’homme » (McLuhan), ni même une série de techniques et d’opérations capables de stocker ou transmettre des informations (Kittler). Le médium est ici, plutôt, l’environnement, le milieu ou l’Umwelt dans lequel se déroule l’expérience sensorielle : une idée qui puise ses racines dans les concepts aristotéliciens de diaphanes et métaxu et dont on peut suivre la présence jusqu’à une théorie contemporaine des médias.

Abstract 

In an essay entitled “On Imitation” (1817), the English critic William Hazlitt writes that Turners’paintings are “representations not so properly of objects of nature as of the medium through which they are seen.” This quote serves as a point of departure for the analysis of the presence, in the context of English and German romanticism, of one of the genealogies that cross paths with the history of the concept of « medium » : the meaning according to which the medium in neither an intermediary between the world of the living and that of the dead, nor is it a set of materials and techniques defining a specific form of artistic creation, nor a « prolongation of man » (McLuhan), nor even a series of techniques and operations capable of storing or transmitting information (Kittler). The medium, rather, here is the environment, the milieu or Umwelt in which sensory experience takes place : an idea that finds its origins in the Aristotelian concepts of diaphanes and metaxy, whose presence can be traced all the way into contemporary theories of the media.

Citation 
Antonio Somaini, « Pour une archéologie du concept de « médium » à l’âge du romantisme. Turner, Hazlitt, Ruskin, Goethe », Romantisme n°187 (1/2020), pp. 106-118, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/lettres-langues/romantisme/romantisme-ndeg187-12020/archeologie-du-concept-medium-lage-du-romantisme-turner-hazlitt-ruskin-goethe
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