Aller au contenu principal
Connexion
Mot de passe oublié
Vous n'avez pas encore de compte ?
Créer votre compte
  • Enseignants
  • Livres
Armand Colin | Revues

Formulaire de recherche

  • Histoire
    • Annales historiques de la Révolution française
    • Histoire, économie & société
    • Revue de l'histoire des religions
    • Revue d'histoire des sciences
    • Annales de démographie historique
  • Géographie
    • Annales de Géographie
    • L'information géographique
  • Éco & Sc. Politique
    • Politique étrangère
    • Revue d'économie régionale et urbaine
  • Lettres & Langues
    • Langue française
    • Langages
    • Le Français Aujourd'hui
    • Littérature
    • Romantisme
  • Éduc. & santé
    • Carrefours de l'éducation
    • La Revue de l'hypnose et de la santé

Vous êtes ici

Accueil » Histoire » Revue d'histoire des sciences » Revue d'histoire des sciences - Tome 63 (1/2010) » Pierre Bouguer, commissaire pour la marine et expert pour les longitudes : Un opposant au développement de l'horlogerie de marine au XVIIIe siècle

Revue d'histoire des sciences - Tome 63 (1/2010)

Pierre Bouguer (1698-1758) un savant et la marine dans la première moitiè du XVIIIe
Parution 
juillet 2010
EAN 
9782200926595
Prix au numéro 
45 €
Marque 
Armand Colin
Pagination 
272 pages
Voir le sommaire

Pour acheter ce numéro, contactez-nous

S'abonner

Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.

Articlesprecedent suivant
Auteur(s) 
Guy Boistel
Pierre Bouguer, commissaire pour la marine et expert pour les longitudes : Un opposant au développement de l'horlogerie de marine au XVIIIe siècle
Résumé 

Dès 1745, Pierre Bouguer, ancien professeur d’hydrographie au Croisic puis au Havre, est sollicité par l’Académie des sciences et par les ministres de la Marine successifs, Maurepas et Rouillé, pour examiner un certain nombre de mémoires et projets sur la découverte du secret des longitudes, déposés devant les autorités. De retour du Pérou depuis 1744, après une expédition académique en Équateur qui lui avait fait perdre dix années de recherches personnelles, Bouguer avait oeuvré pour remplacer Pierre-Louis Moreau de Maupertuis, parti pour Berlin, au poste de « préposé au perfectionnement de la marine ». En 1749, Rouillé lui attribue pour ce poste la pension de 3 000 livres qui avait été créée spécialement pour Maupertuis, par Maurepas, à l’automne 1739. Bouguer s’acquittera scrupuleusement de sa tâche jusqu’à son décès en 1758. L’examen du style, des idées et des contradictions de Bouguer conduit à dégager un leitmotiv dans ses rapports : puisqu’on ne dispose pas d’horloges au fonctionnement régulier permettant la détermination des longitudes en mer, de tels projets sont voués à l’échec et ne méritent pas d’être encouragés. Ainsi, l’expertise pratiquée par Bouguer semble-t-elle agir comme un obstacle au développement de l’horlogerie de marine en France dans les années 1750. Cette position dure aurait-elle été responsable du retard pris par les horlogers français sur leurs homologues britanniques dans cette période cruciale de la quête des longitudes en mer ? C’est ce que cet article se propose d’examiner.

Mots clés 
Pierre Bouguer
Académie royale des sciences
expertise
commissaire pour la Marine
longitudes
horloges et montres de marine
navigation
Abstract 

As early as 1745 Pierre Bouguer, former professor of hydrography at Le Croisic, then at Le Havre, was solicited by the Academy of sciences of Paris and the successive ministers of the navy, Maurepas and Rouillé, to examine several treatises and projects on the discovery of the secret of longitudes submitted to the authorities. Having returned from Peru since 1744, after an expedition to Equator under the auspices of the Academy, which represented ten years taken away from personal research, Bouguer sought to replace Pierre-Louis Moreau de Maupertuis, who had left for Berlin, as « officer for the improvement of the navy ». In 1749 Rouillé granted him the pension of 3 000 pounds for this position, which had been created especially for Maupertuis in the autumn of 1739. Bouguer acquitted scrupulously this task until his death in 1758. An examination of the style, ideas and contradictions of Bouguer leads us to bring out a leitmotiv in his reports: faced with clocks whose functioning was not regular enough for determining longitudes at sea, such projects were held to be doomed to failure and were not to be encouraged. Thus Bouguer’s practical expertise appears to have been an obstacle to the development of marine clockwork in France during the 1750s. Was this obstinacy responsible for the lag of French clockmakers with respect to their British counterparts during this crucial period of the conquest of longitude at sea ? Such is the question this article seeks to answer.

Keywords 
Pierre Bouguer
Royal Academy of sciences of Paris
expertise
commissioner for the navy
longitudes
marine clockworks and watches
navigation
Citation 
Guy Boistel, « Pierre Bouguer, commissaire pour la marine et expert pour les longitudes : Un opposant au développement de l'horlogerie de marine au XVIIIe siècle », Revue d'histoire des sciences - Tome 63 (1/2010), pp. 121-159, Armand Colin. Disponible sur : http://www.revues.armand-colin.com/histoire/revue-dhistoire-sciences/revue-dhistoire-sciences-tome-63-12010/pierre-bouguer-commissaire-marine-expert-longitudes-opposant-au-developpement
Consulter l'article
Citer l'article
Logo footer Armand colin
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • Livres
  • Espace Enseignants du Supérieur
  • Dunod Éditeur

Inscrivez-vous à la newsletter

  • Mentions légales
  • Archives ouvertes
  • C.G.V
  • C.G.A
  • Données personnelles
  • Cookies
  • Plan du site

© Armand Colin, Tous droits réservés.

Back to top