Littérature n° 164 (4/2011)
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La critique de Jean-Pierre Richard disperse en une nomenclature, en une bruine de définitions, la dynamique unitaire de l’intrigue, promouvant ainsi, au prix d’un déplacement d’accent du tout vers le détail, la simple aventure d’exister à la hauteur d’un grand récit. Le Centaure de Maurice de Guérin apparaît comme un emblème possible de cet art du commentaire.
Jean-Pierre Richard’s critical work disperses into a nomenclature, a gentle shower of definitions, the single-minded dynamism of the story-line, thus pushing, at the price of displacing the emphasis from the whole towards the detail, the simple adventure of existing, towards the heights of a grand narrative. Maurice de Guérin’s Centaur could be emblematic of this art of commentary.