Cette contribution s’inscrit dans le cadre d’une réflexion sur les difficultés que peut générer pour l’enseignant la lecture à ses élèves (toute petite et petite section d’école maternelle) d’un album destiné aux plus petits. À partir d’un récit du quotidien, l’étude interroge les relations possibles dans la construction de la référence entre le monde réel, l’expression linguistique et l’expérience culturelle. Au final, (ou presque) tout n’est-il qu’implicite ?